Violla m’avait dit qu’il fallait un peu de repos entre deux éjaculations. Je m’aperçus que ce n’était pas toujours exact, car bientôt, je me sentis prêt à émettre un deuxième jet de sperme. À ce moment, Tchoudya modifia sa position en posant ses genoux sur le lit. Elle se baissa pour m’embrasser sur la bouche, d’une manière si brutale qu’elle faillit m’écorcher les lèvres. Elle réinséra mon sexe dans son vagin et se remit à bouger avec la même frénésie. Cette fois, j’empoignai ses seins pour les pétrir entre mes doigts et pincer ses mamelons. Elle cria plus fortement.

C’est le jour J… Me voilà face à mon psychiatre attitré, en ce trois janvier, un grand brun d’une quarantaine d’années avec une magnifique carrure, que ce soit de visage ou des épaules. Je suis un peu stressée car c’est une première pour moi. Je ne sais pas comment cette séance va se dérouler.

J’attends assise à côté de mon avocat, un grand blond d’une quarantaine années prenant, à mon avis, bien soin de lui, ma sentence qui va tomber d’un moment à l’autre. Il n’y a pas beaucoup de monde dans la salle. En face de moi se trouve le juge. D’un côté, se tiennent tous les membres du jury, et de l’autre, de grandes fenêtres donnent sur le lac.

Après avoir survolé la bouche de Juliette, les lèvres et la langue de Léo se dirigèrent vers une joue. L’odeur de sa salive gagna furtivement les narines de Juliette. Le jeune homme lâcha ses bras et se baissa pour mettre sa bouche à la hauteur des seins, dont les proéminents mamelons bruns s’était dressés. Il en aspira un dans sa bouche et le suça à la manière d’un bébé, tout en triturant méchamment la chair de l’autre téton. La poitrine de Juliette devint pour elle une source de délices qui se propagèrent dans son corps et provoquèrent un tel alanguissement qu’elle se sentit flancher.