Soirée du 31 décembre
Je suis assise sur mon lit à regarder dans le vide quand la porte s’ouvre pour laisser passer une gardienne. Rien qu’à la regarder avec son corps de rêve, il est difficile d’imaginer une seconde qu’elle travaille dans un centre pénitentiaire.
— Madame Blanchard, l’heure du repas du Nouvel An est arrivée, dit-elle, grande brune aux formes généreuses si je peux me le permettre.
Elle me regarde de la tête aux pieds tout en posant une assiette contenant des carottes, des pommes de terre et deux morceaux de viande ressemblant à du filet mignon et une sauce aux champignons à part. À côté de celle-ci, se trouve une plus petite avec un morceau de gâteau au chocolat.
Je la fixe aussi et remarque ses yeux de braise noirs. Il faut que je résiste, je ne veux pas qu’on me laisse de nouveau pendue dans cette cellule froide pendant je ne sais combien de temps. Je prends sur moi et commence à manger. La gardienne reste là à côté à me toiser. J’ai la sensation qu’elle me dévore du regard, comme quand j’étais sous la douche.
Reste calme, c’est bientôt fini, juste un jour et deux nuits, il ne faut pas que je tombe dans le panneau.
C’est succulent, moi qui m’attendais à quelque chose de fade et mauvais. Dix-neuf heures sonnent ; la gardienne part avec mon assiette vide, j’aurais bien voulu un dessert un peu différent mais je ne peux le demander. Ça va être difficile pour moi cette fin d’année, seule dans mon coin alors que depuis mon divorce, je ne me souvenais plus ce que c’était de passer un week-end ou une soirée spéciale seule.
Vingt heures, la même jeune femme ouvre la porte.
— Voilà chère Madame, venez vous préparer pour la nuit du Nouvel An.
Pardon ? Nuit de Nouvel An ? Qu’est-ce qui peut bien m’attendre ?
Je vais de surprise en surprise dans cette prison. Moi qui m’attendais à la passer seule dans une cellule froide. Elle me met des menottes argentées et froides, presque excitantes comme si j’étais dans un autre endroit et m’emmène dans la salle des douches où j’étais il y a quelques heures.
— Préparez-vous, on vous attend…
Comment ça, on vous attend ?
Je ne comprends toujours rien, il n’y a aucune explication. Je prends ma douche comme à mon habitude. Cette fois-ci, j’ai les deux mains libres pour bien me savonner. Tout est comme ce matin. Je commence à penser à tout ce qu’on m’a dit et entendu. Au début, je veux faire une douche rapide, mais en regardant du coin de l’œil, j’aperçois deux petites voyeuses. Je commence à prendre mon temps, à danser sous cette douche froide comme si de rien n’était mais quelque chose change en moi, je commence à bouillir, à vouloir que des mains me touchent, à vouloir des bites. Je continue à me masser les seins tranquillement tout en me tortillant comme sur ma barre de pole. Mais trop tard, deux mains me saisissent les bras pour que je n’aille pas plus loin ; ce sont les mêmes femmes qui m’ont conduite dans cet établissement.
Non, pas encore une fois !
— J’ose poser une petite question ?
— Oui, bien sûr.
— Que se passe-t-il ici ?
— Ne vous inquiétez pas, le traitement fait son effet.
— Quel traitement ? De quoi parlez-vous ?
Je reste sans voix, je veux juste des réponses à toutes mes questions, rien de plus, mais on me laisse là comme si c’était des secrets d’État alors que je suis la première concernée.
Le médecin, le directeur et le juge passent en coup de vent tandis que je suis nue comme un ver. Je vois qu’ils admirent ma nudité, puis ils partent comme ils étaient venus.
Que font-ils ?
Une matonne part pour me laisser seule avec la brune qui me tend un petit linge blanc couvrant juste ce qu’il faut et l’on me menotte pour m’amener dans une autre pièce. Celle-ci me transporte à Hollywood, comme les stars.
C’est de plus en plus bizarre, cette prison.
Il y a une commode avec un très grand miroir, une chaise qui a l’air très confortable, même un lit spécial pour les massages. Elle m’ordonne de me coucher sur le lit et attache mes mains sur les côtés quand une autre personne entre tout de blanc vêtue, j’ai reconnu la gardienne de tout à l’heure. Je dois avoir des hallucinations. Des gens partent et réapparaissent comme si de rien n’était et j’ai l’impression que tout le monde me dévore du regard et me désire.
Je deviens folle, me suis-je convaincue à la longue.
La femme commence enfin à m’expliquer ce que je fais là.
— Bonsoir, je vais vous aider à vous préparer. Pour débuter, nous allons bien regarder que le minimum dépasse, et après, nous allons faire les touches finales avec coiffure et maquillage.
Pardon ?
Je me rappelle tout de suite l’extérieur chez ma meilleure amie l’esthéticienne, lorsqu’en plus de me laisser impeccable, elle m’offrait toujours un petit quelque chose en supplément comme des caresses très intimes. Évidemment, je la remerciais à ma manière. Mais quand je suis rentrée en prison, je n’ai même pas pensé à me faire belle pour l’occasion. Oh mon Dieu, ça va être difficile de rester de marbre vu que je mouille déjà !
Qu’est-ce que c’est que cet endroit ? Respire !
La femme m’ôte mon linge. Je suis à nouveau comme venue au monde et attachée, bref complètement à sa merci. Elle contrôle tout d’abord mon visage, sourcils, cils, cheveux, tout y passe, puis mes aisselles (qui normalement sont toujours propres). Ses yeux sautent directement aux jambes et là, elle fait couler un peu de cire sur mes cuisses, endroit que je ne fais jamais. Après quelques petits passages douloureux, elle s’arrête sur mon pubis.
— Waouh, c’est magnifique, je n’ai même pas besoin d’enlever quoi que ce soit. Est-ce que je peux… ?
La question reste en suspens et elle me masse avec un doigt. Ayant les deux bras attachés, je ne peux pas lui répondre.
Ne vous arrêtez pas…
Je sens une chaleur m’envahir, c’est ce dont j’ai besoin depuis ce matin.
Allez, ne vous arrêtez pas en si bon chemin…
Je veux la supplier quand une main se pose sur ma bouche pour me faire taire et elle stoppe net.
— Ah… On ne va pas faire la fête tout de suite… me répond-elle avec un sourire craquant en me faisant un clin d’œil.
Je suis de nouveau frustrée, c’est malsain de laisser quelqu’un comme ça. Je sens qu’elle commence à s’exciter. Je la laisse faire en pensant qu’elle va continuer à m’offrir ce cadeau avant mes quelques heures d’abstinences inhabituelles. Je me retiens, ne voulant pas à nouveau me retrouver suspendue comme dans cette cellule froide. Elle me masse le reste du corps avec une crème ou une huile, mon dos, mes jambes, mon bassin, mes bras pour finir avec mes seins, qu’elle malaxe à merveille, tellement bien que des pointes se forment.
Mais c’est impossible, un massage pareil aussi merveilleux et je veux que ça continue, je veux des pressions sur mon corps.
Elle me couvre puis me propose de m’installer à la coiffeuse. Devant un grand miroir, elle me fait une tresse avec mes longs cheveux bruns et un maquillage assez différent de celui que je fais habituellement ; des yeux de biche à l’aide du crayon noir, du mascara, un rouge à lèvres d’un rouge pétant qu’il est impossible de ne pas remarquer. En me regardant dans le miroir, je vois une jeune femme entrer et ses yeux s’agrandir d’émerveillement comme si j’étais une déesse.
— Venez, je vous amène dans votre chambre. Si je ne vous attache pas, vous promettez de laisser vos mains tranquilles ?
J’acquiesce et j’essaie de penser fort à autre chose que… des chattes, des bites, des seins, des hommes, des femmes nues, du sexe… C’est de plus en plus difficile mais il le faut, je dois tenir. Mains libres, elle me fait entrer dans une pièce complètement différente.
— Votre tenue de soirée est là, dans la boîte sur le matelas. Attendez sagement, m’ordonne-elle.
Elle part en me laissant seule dans ce lieu magnifique avec un lit couvert d’un drap en satin rouge. Dans celui-ci, ma tenue m’attend. Elle est très légère, composée de collants noirs, d’un string fin, très transparent noir avec des petites paillettes qui donnent une touche sensuelle et d’un long collier de petites perles fines noires. Il y a aussi des chaussures à talons qui doivent mesurer une bonne dizaine de centimètres. Je m’habille (si on peut appeler ça s’habiller) et fais le tour. Contre le mur, une commode est fermée à clé, ainsi qu’une armoire, accrochée sur une vitre servant de miroir. L’endroit commence à m’exciter, j’ai envie de me caresser, d’inviter du monde, de me masturber, mais non, je dois rester très calme. J’ai les bras croisés pour me retenir mais c’est très difficile. Je continue à me demander ce que je fais ici, ce qui va se passer, tout se chamboule dans ma tête.
Qu’est-ce que c’est que cette pièce ?
Les deux gardiennes
Après plusieurs heures de préparation, je reste là tranquillement sur ce lit rouge. Quand vingt-deux heures sonnent, la porte s’ouvre pour laisser place aux deux mêmes gardiennes en uniforme, la blonde et la brune. Elles rentrent avec un air très différent de tout à l’heure.
Bizarre, que va-t-il se passer ? Pourquoi suis-je dans cette pièce avec les sens en éveil ? Que me veulent-elles ?
— Bonjour, est-ce que votre nouvelle cellule vous plaît ? me demande la blonde en se mordant les lèvres.
Je reste très surprise sans savoir quoi répondre.
— Comment ça, ma nouvelle cellule ?
— Oui, continue la brune aux yeux sombres perçants, habituez-vous à cet environnement. À partir d’aujourd’hui, c’est votre nouvelle chambre. Elle est beaucoup plus… comment dire accueillante que celle où vous étiez jusqu’à maintenant.
Je fais oui de la tête tout en sentant ma respiration s’accélérer. Elles se rapprochent l’une de l’autre et s’embrassent devant moi, comme si elles étaient dans une chambre d’hôtel… ou peut-être que tout était calculé…
Je ne sais plus… je suis perdue.
Les deux sont en uniforme foncé bien moulant qui met toutes leurs belles formes en valeur, je distingue même les contours de leurs pubis. L’une d’elles commence à caresser l’autre. Je reste là, sans voix, et en même temps, je veux me mêler à elles tellement je suis excitée sans pouvoir me calmer. Les deux femmes se retournent dans ma direction. Elles arrivent tout en ouvrant leur chemise afin de faire ressortir leurs magnifiques seins bien fermes, en pointe comme j’adore tant les voir. Je n’ai qu’une seule envie, c’est de les prendre dans mes mains, les masser pour les sentir ce raffermir petit à petit ; prendre leurs mamelons dans la bouche et les suçoter. Elles continuent de s’approcher, la brune ôte son pantalon pour se présenter devant moi juste avec son magnifique string noir. Elle vient s’asseoir à califourchon sur moi et me pousse contre le lit en satin rouge, colle son mamelon dans ma bouche et sa chatte chaude et humide sur mon ventre. Je sens qu’elle se tortille contre mon collier de perles, et là, j’ai remarqué que son string était ouvert, même pas besoin de l’enlever. La blonde m’attache les poignets à la tête du lit, les bras ouverts. Au début, je veux refuser, mais après quelques secondes, je me mets à jouer avec ce sein. Tout à coup, une main vient s’occuper de moi. Non, je me suis trompée, elle s’occupe d’elle, plus précisément, de sa chatte en chaleur. Je sens ses doigts masser ses lèvres, son clitoris, s’enfoncer dans son vagin et en même temps frictionner un peu mon ventre. Les gémissements de la brune commencent à être de plus en plus prononcés. Je sens sa moiteur contre mon bassin et continue à bouillir.
C’est trop bon, j’en veux encore…
Une main arrive, se balade entre mes cuisses pour finir sa course dans mon entrejambe. Sans enlever mon string transparent noir, elle commence à malaxer mes lèvres, mon clitoris, comme pour sa collègue. Je dois arrêter quelques secondes pour me laisser aller, mais je ne résiste pas à cette envie de continuer, la brune ne veut pas que je stoppe. Elle tient mes cheveux fermement pour que ma tête s’appuie contre son sein. La blonde s’arrête quelques secondes pour me détacher, mes bras sont libres. Je ne tarde pas à glisser une main sur le pubis de ma masseuse. Je commence par-dessus le tissu à dessiner des cercles avec mes doigts, de plus en plus fort. Le string me dérange un peu. Je finis par trouver l’entrée que je cherche et continue comme elle, à faire des va-et-vient. Un doigt, deux doigts, trois doigts, elle aime ça.
L’autre bras va enlacer ma donneuse de sein pour éviter qu’elle ne parte trop vite. Nous sommes toutes les trois sur ce lit si chaud quand la brune arrête de me masturber. Je n’ai pas eu besoin d’en demander davantage, sa langue chaude et douce à la fois prend le relais sans attendre. Je sens mon souffle se raccourcir, je ne veux pas que ça s’arrête.
Continuez, ne vous arrêtez pas…
La blonde continue de me lécher même à l’intérieur de moi, c’est merveilleux. La métisse me lâche pour installer confortablement sa chatte humide sur ma bouche. Le repas est servi. Avec ma main libre, je continue de masser ses seins, mais elle refuse et la pose sur ses fesses, mieux dans la raie. Pour moi, le message est clair. Je prends mon majeur, le lèche afin de l’enfoncer tranquillement dans son anus encore étroit. Elle inspire fortement, c’est même elle qui dirige la pénétration. La belle blonde s’arrête pour faire de même avec moi. Waouh, j’apprécie son va-et-vient, son massage dans mon cul tout en reprenant là où elle en est restée avec sa langue. Je me laisse aller, mais en même temps, je veux les remercier à ma manière. Pour la belle à califourchon, je crois que c’est tout bon, elle s’emporte dans sa jouissance, laisse couler son merveilleux liquide dans ma bouche. C’est une femme fontaine, je n’ai jamais eu la chance d’en côtoyer mais je ne pense pas m’arrêter là. Cette expérience est merveilleuse. Elle se lève pour m’embrasser langoureusement pendant que la deuxième gardienne s’occupe de moi. Elle me remercie et fait signe à sa collègue de venir. La brune m’attache les poignets à la tête du lit et les chevilles au pied.
Waouh… quel retournement de situation…
Celle qui était encore en pantalon finit par se déshabiller, s’asseoir sur la commode puis écarter ses cuisses pour bien me présenter son sexe légèrement gonflé et humide. La jeune femme prend le sexe dans sa bouche, tout en écartant ses belles fesses pour me présenter son anus et sa chatte en feu. La tête part en arrière, elle prend son pied. Je suis en admiration face à ce magnifique spectacle, je supplie du regard de continuer avec moi dans leur ébat lorsque la porte s’ouvre tout à coup.
Les gardes
Deux beaux hommes en uniforme noir rentrent en admirant le spectacle qui se déroule devant eux. Je peux distinguer leur érection sans problème.
Waouh ça, c’est un Nouvel An comme j’aime.
La femme brune s’arrête, sa collègue en veut encore, ça se sent. Elle prend ses habits et sort avec un regard coquin comme pour nous dire « amusez-vous bien et merci ».
La jeune femme blonde se lève et embrasse langoureusement le bel individu aux cheveux bruns avec son regard ténébreux. L’homme prend les seins fermement dans ses paumes, les masse pour les rendre plus fermes tout en poussant la matonne sur la commode d’où elle s’est levée. Après plusieurs massages, il descend jusqu’à son pubis et continue ce que la brune avait laissé, il la lèche fortement avec un bruit qui m’excite au fond de moi. Il remonte tout en léchant le long de son ventre et en ouvrant son pantalon puis l’invite à se servir. Les rôles se sont inversés ; lui, s’appuie sur la commode, elle, à genoux, commence à le lécher depuis les testicules jusqu’au sommet, sans laisser un centimètre de peau non exploité tout en le fixant du regard. Arrivée au sommet du gland, elle ouvre sa bouche puis l’avale tout d’un coup tellement fort qu’il en est surpris. La belle commence à le pomper avec beaucoup d’envie. Le beau mâle a le souffle court, il regarde sa belle dans les yeux avec un sourire aux lèvres et l’aide à continuer en lui tenant la tête.
Ma vue est malheureusement cachée par le deuxième garde, un beau blond aux yeux gris qui se masturbe en les regardant.
— Vous en voulez ? me demande-t-il.
Comment refuser une telle offre ?
Sans une seconde d’hésitation, je lui fais signe que oui, je veux. Il s’approche et enfonce directement sa grosse bite dans ma bouche pour commencer les allers-retours d’une façon assez brutale comme j’aime. Plus son érection grossit, plus les va-et-vient s’accélèrent, je ne peux pas la lâcher.
Je veux cet élixir tout chaud au fond de moi…
Il se retire subitement pour me laisser là, en plan comme chaque fois depuis mon arrivée. J’essaie de me détacher pour continuer mais rien, puisque chacun est à son affaire. Il part rejoindre ses collègues.
Non, s’il vous plaît, ne me laissez pas…
Je reste là, à admirer cette scène comme dans un film, toujours avec ma lingerie transparente à vouloir les accompagner et jouir sans y parvenir.
Le deuxième garde tend son sexe à sa collègue qui ne se fait pas attendre pour se servir et continuer avec les deux bites. Un coup à gauche, un autre à droite, elle ne fait que ça, manger à sa faim. En même temps, les deux hommes ôtent leur uniforme pour monter leur merveilleuse forme physique. Je suis émerveillée devant ces beaux mâles aux corps parfaitement musclés. Celui qui est venu vers moi a un tatouage de dragon sur son épaule alors que l’autre exhibe des ailes d’ange sur tout le dos. La jeune femme s’arrête et me regarde pour me donner envie, ce qu’elle arrive à la perfection.
Pas besoin de me regarder comme ça… venez… pensé-je si fort qu’ils m’auraient presque entendue.
L’ébullition a repris en force, il m’est impossible de me calmer devant un tel spectacle.
Elle écarte ses cuisses en me tournant le dos pour bien me montrer sa chatte humide et prête à accueillir qui que ce soit, ainsi que son anus encore bien fermé. Elle continue à sucer le garde blond, prête à tout lui arracher, pendant que le ténébreux arrive derrière elle. Il la regarde une dernière fois en la massant pour pénétrer fortement cette grotte. Elle pousse un gémissement, arrête quelques secondes sa manœuvre pour regarder son amant dans les yeux avec un magnifique sourire. Le blond la prend par la tête pour l’inviter à continuer ce qu’elle a commencé. Il débute ses allers-retours, la jeune femme continue de se laisser aller au rythme de son mâle pénétrant. Les deux profèrent des insultes plus excitantes les unes que les autres.
— Alors salope, tu aimes ça ?
— Tu en veux encore?
Je ne comprends pas tout mais j’ai une grande imagination pour ça.
Les deux accélèrent leur rythme, la jeune femme l’accepte entièrement. Ils se regardent en se faisant des signes pendant cette baise.
Que vont-ils faire ? Et moi ?
Un moment, tandis que je regarde cette animation digne d’un film pour adultes, je me mets à me tortiller à ce rythme. Je m’imagine à la place de la jeune femme. Je veux une seule chose depuis mon arrivée, qu’on me baise. Le blond libère sa collègue d’un seul coup. Il vient vers moi avec son membre toujours en érection.
Enfin…
Il détache mes deux poignets et mes deux chevilles, me fait signe de m’asseoir confortablement. Je suis toujours en ébullition. Il attache mes coudes et mes genoux à la tête du lit. Je suis à leur merci, leur pantin, à la limite du grand écart. Il n’hésite pas à m’embrasser et donner une petite pichenette à mon string qui me fait sursauter. Il appelle ses collègues afin de les inviter sur mon lit rouge. Il se couche la tête entre mes cuisses. Par-dessus, vient la jeune femme qui s’installe confortablement sur sa verge. Le jeune homme halète, je peux sentir son souffle chaud sur moi. La jeune femme commence à s’éclater comme jamais. Le beau mâle brun, qui a ma préférence, arrive avec son érection, la pousse un peu pour libérer ses fesses et s’enfonce petit à petit en elle. Elle gémit sous ses magnifiques paroles excitantes.
— Viens par-là, tu as besoin d’un gros coup dans le cul… Mmhh… Tiens, c’est étroit… personne n’est passé par là depuis un moment…
Une fois à l’intérieur, il va tellement au fond qu’elle atterrit sur mon sexe. Avec une main, elle dégage le bout de tissu qui le dérange pour pouvoir arriver à ce qui l’intéresse. Elle ouvre sa bouche pour aspirer mon clitoris qui recommence à se gonfler. Je ferme les yeux pour bien profiter du moment, je sens sa tête venir contre moi au fur et à mesure que les hommes bougent à l’unisson.
Oh, c’est tellement bon… ne vous arrêtez pas… j’adore… son souffle chaud… sa langue…
Le rythme baisse.
Non. Tout le monde me dit de rester calme, comment est-ce possible avec tout ça ?
Ils arrêtent tout. Le mâle brun tend son engin à sa collègue. La femme la saisit pendant que le deuxième garde glisse son énorme érection dans ma bouche. Il fait les allers-retours en tapant le fond de ma gorge tout en me tenant par la tresse. Il m’est impossible de voir l’autre couple, mais ce n’est pas grave, j’ai ce que je voulais. La température augmente, la jouissance arrive enfin. Il doit sentir que je suis à deux doigts d’arriver au septième ciel. Il se retire tout comme son camarade de jeu qui vient s’installer entre mes cuisses. Il profite de l’occasion pour lécher un peu mon clitoris tout en émettant un petit rire. La blonde reprend la même place qu’avant et le blond la pénètre d’un coup sec qui la fait gémir.
— Tiens, le passage est déjà fait…
Pas le temps de reprendre son souffle, ils ne laissent plus la gardienne s’occuper de moi, ils la tiennent droite. Le rythme s’accélère au point de donner le tournis. Les deux mâles sont à fond dans leurs performance comme s’ils doivent tout mettre en elle. Le brun la plaque contre lui. Je bouge un tout petit peu pour que mon sexe arrive à sa bouche. Elle continue à aspirer ce petit bouton. Entre deux gémissements, j’entends qu’ils parlent entre eux, mais je n’arrive pas à les comprendre.
— Alors… une pute ?…
— Non, une… du diable ?…
Les gémissements continuent à être de plus en plus forts sans pause. Ils essaient de reprendre leur souffle mais impossible, même pour moi ça devient difficile.
— S’il vous plaît ,venez en moi, me surprends-je à parler à haute voix.
Ils ne m’écoutent pas. Les claques sur les fesses sont inaudibles au début pour devenir de plus en plus fortes.
— Alors… la putain ? Tu veux ta douche ?
Elle arrête sa manœuvre pour répondre
— Là, dit-elle en signalant ses seins…
Je veux bien offrir mon corps pour qu’ils puissent me doucher aussi. Elle s’arrête subitement, ils se lèvent à toute vitesse afin que la jeune femme puisse se mettre assise sur le lit. Elle les prend sans relâche, une bite après l’autre tout en les masturbant jusqu’à ce que les hommes n’en puissent plus. Dans un bruit que j’aime énormément, ils étalent leurs semences sur son visage, ses seins, et elle coule sur son ventre. Elle nettoie le tout en aspirant comme il faut pendant que les deux hommes étalent le tout sur son corps jusqu’à sa chatte. Elle se recouche sur mon lit sans bouger, sa tête entre mes cuisses. Les deux hommes me libèrent et sans attendre, l’un des deux me pousse vers le visage de la femme afin que je puisse lécher tout son corps, centimètre par centimètre, pour avaler ce magnifique sperme chaud. On s’embrasse avec passion pendant qu’elle me serre contre elle. Quelqu’un me prend les bras pour nous séparer et me plaque contre ses seins que je suçote sans attendre. Je sens deux paires d’yeux posés sur nous. Je descends petit à petit sans laisser une seule goutte pour la suivante ou le suivant. À mon arrivée vers le pubis, la blonde bascule pour m’offrir son clitoris, son vagin, son anus. Quel cadeau, tout chaud et bon ! Je la lèche comme une personne en manque. J’y vais tranquillement pour éviter que sa jouissance arrive trop vite et que tout s’arrête, mais c’est incontrôlable, les mouvements s’accélèrent.
Quel bonheur, enfin…
Pendant ce temps, je sens des doigts m’enlever la petite ficelle du string. Elle fait de même avec moi… Elle commence depuis la naissance de la raie en passant la langue dans mon anus pour continuer par mon périnée. Elle met sa langue dans mon vagin pour arriver à mon clitoris. C’est tellement bon. De mon côté, j’y vais de plus en plus fort, je sens que mon ventre vibre comme elle. Elle s’arrête soudainement pour pousser un gémissement tout en plaquant mon visage contre son sexe. Du liquide tout aussi bon que le sperme sort de son vagin ; c’est une femme fontaine comme sa collègue. Je reçois tout dans la bouche, je ne peux qu’avaler tellement c’est bon. Les deux hommes me lèvent comme si elle devait reprendre son souffle. Ils me prennent et m’attachent à nouveau les bras écartés, impossible de soulager mon minou brûlant.
S’il vous plaît, laissez-moi finir…
— Merci beaucoup, me dit la blonde haletante en m’embrassant.
— Avec plaisir… réponds-je pendant que je rassemble mes esprits en espérant de cette façon qu’elle me rende la pareille.
— Par contre, il est impossible de continuer.
— Et pourquoi ?
— Vous êtes en traitement. Dans notre contrat, il nous est interdit de vous pénétrer, de vous faire jouir, afin de savoir comment vous réagissez, continue le blond en ramassant les habits.
Pardon ? Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?
— Ils ont tout à fait raison, désolé… répond le garde brun en ouvrant la porte de sortie.
— Bonne soirée et bonne année.
Je fais un signe de la main, frustrée comme jamais. Me laisser en plan, moi, c’est bien une première.
Mais que ce passe-t-il ici ?
Je me surprends à essayer de frotter mon entrejambe, à tortiller mon bassin en imaginant toutes sortes de scènes mais rien ne vient. Je reste sur ma faim toujours au même endroit comme si rien ne s’est passé. Attachée sur mon lit en satin rouge, mes collants, mon collier de perles et mon string transparent, tout en noir comme j’aime, j’attends la suite des évènements. La seule différence est que ma chatte est à l’air, puisque que le string est légèrement décalé.