Après avoir survolé la bouche de Juliette, les lèvres et la langue de Léo se dirigèrent vers une joue. L’odeur de sa salive gagna furtivement les narines de Juliette. Le jeune homme lâcha ses bras et se baissa pour mettre sa bouche à la hauteur des seins, dont les proéminents mamelons bruns s’était dressés. Il en aspira un dans sa bouche et le suça à la manière d’un bébé, tout en triturant méchamment la chair de l’autre téton. La poitrine de Juliette devint pour elle une source de délices qui se propagèrent dans son corps et provoquèrent un tel alanguissement qu’elle se sentit flancher.